De nombreux témoignages rapportent la présence d’une forte odeur sur une grande partie de l’agglomération de Rouen depuis la fin de l’après-midi. Différents termes sont utilisés pour la décrire : soufre, gaz, hydrocarbures, goudron… Des recherches pour en déterminer l'origine sont en cours.

Allo industrie (0800 101 092) signale des manœuvres de redémarrage du vapocraqueur d’ExxonMobil de la plateforme de Gravenchon aujourd’hui, mercredi 22 août.Ces opérations sont organisées de façon échelonnée et s’étendront sur plusieurs jours. Elles peuvent générer des épisodes de torche et de bruit.

Il y a des périodes plus propices que d’autres pour sentir les « bonnes » odeurs de la campagne…
Lisiers, fumiers, boues industrielles et de stations d’épuration ou digestats des méthaniseurs…,  c’est en fonction des travaux des champs et du calendrier réglementé et imposé aux agriculteurs que l’épandage est pratiqué pour enrichir le sol. Les odeurs seront aussi plus ou moins perçues en fonction de la météo, la chaleur par exemple favorise la volatilisation des molécules odorantes. L’an passé de nombreux signalements ont été enregistrés en particulier sur la région havraise dans la Pointe de Caux. Après enquête d’Atmo Normandie et des services de l’Etat, un produit agricole issu de l’extraction de fécule de pomme de terre utilisé pour accélérer la décomposition des chaumes de blé avait été mis en cause. Un courrier co-signé Atmo Normandie/Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement a été envoyé aux revendeurs et fabricant pour les sensibiliser et les inciter à trouver des solutions afin d'éviter que l'événement odorant ne se reproduise  à la prochaine saison d’épandage (Voir rapport mis en ligne dans le menu Publication/Etudes).

La plateforme havraise d’information Allo industrie (0800 101 092) signale des opérations de maintenance sur les unités de production de l’entreprise Yara. Ces opérations pourront s’accompagner de bruits inhabituels et d’odeurs d’ammoniac aux alentours du site durant plusieurs jours.

La plateforme havraise d’information Allo industrie (0800 101 092) signale un incident technique sur le vapocraqueur du site pétrochimique Total d’Harfleur. Cet incident est à l’origine d’importants épisodes de torche depuis dimanche 5 août et devant probablement se poursuivre jusqu’à mercredi, 8 août. Une intervention est en cours pour régler l’incident. 

La plateforme havraise d’information Allo industrie (0800 101 092) signale le redémarrage d’un vapocraqueur sur le site d’ExxonMobil à Port-Jérôme. Les opérations de redémarrage  débuteront le 1er août après-midi et se dérouleront sur plusieurs jours. Des épisodes de torches et de bruits sont à prévoir durant cette période.

La plateforme havraise d’information Allo industrie (0800 101 092) signale des opérations de redémarrage d’unités sur la raffinerie Total d’Harfleur.
Ces opérations s’étendront du 30 juillet au 1er août et pourront s’accompagner d’épisodes de bruit et de torche.

La plateforme havraise d’information Allo industrie (0800 101 092) signale le redémarrage d’unités de production de l’entreprise Yara. Ces opérations peuvent engendrer des bruits inhabituels dus à des rejets de vapeur d’eau, ainsi que des odeurs d'ammoniac.Ces opérations commencent le 27 juillet et se poursuivront sur les prochains jours.

A compter de ce 26 juillet et pour les prochains jours, ExxonMobil informe sur la plateforme AlloIndustrie de la possibilité d’épisodes intermittents de torches.Des manœuvres sont en cours et font suite à l’incident survenu dimanche 22 juillet 2018. 

Atmo Normandie a reçu des signalements d’odeurs et de fumées noires sur la zone de Port-Jérôme pour la journée d’hier et encore durant la matinée de lundi.
ExxonMobil a utilisé la plate-forme publique AlloIndustrie hier, dimanche 22 juillet, matin et soir, pour signaler un problème d’alimentation électrique causant beaucoup de fumées noires. « Un Plan d’Opération Interne a été déclenché pour suivre ces opérations avec l’assistance des services de secours présents sur place et en étroite collaboration avec les autorités. »
Pour rappel, Allo Industrie est un dispositif mis en place par la CCI Seine Estuaire et les entreprises de la région havraise et de Port-Jérôme pour informer d’événements inhabituels et perceptibles par les riverains. 
« Allo industrie » est disponible par téléphone, sur un numéro vert (appel gratuit) au 0800 101 092 ou par internet : http://www.allo-industrie.com/.

La Région Normandie organise une journée marathon sur le principe de coopération en équipe sur le thème : « Mieux se déplacer dans les zones peu denses de Normandie ».
Ce hackathon “Mobil'Hack Normandy” se déroulera le jeudi 4 octobre au Dôme, 3 Esplanade Stéphane Hessel à Caen de 9h à 21h.  
Les inscriptions sont ouvertes sur le site de la Région. 
Voir aussi l’article et la vidéo sur le site de la Région Normandie.
Clôture des inscriptions le 24 septembre 2018

Une nouvelle fiche « Bonnes pratiques » vient d’être publiée.
Après la consommation de carburant des engins agricoles et l’épandage, c’est le sujet de la fertilisation azotée qui est traité.
Toutes les fiches sont en téléchargement dans la rubrique Publications, menu « Ressources externes » (une collaboration dans le cadre du Plan de Protection de l’Atmosphère avec les chambres d’agriculture de Normandie et la DREAL).

Atmo Normandie a contribué à l’étude de l’ANSES en lui fournissant 469 séries de mesures dont elle disposait sur 5 ans (2012 à 2016) sur des polluants non réglementés.
Ce type de surveillance, qui va au-delà de ce qui est strictement imposé par les réglementations européennes et françaises, est effectué par Atmo Normandie dans le cadre de son Programme Régional de Surveillance de la Qualité de l’Air (PRSQA) pour répondre à des enjeux et objectif locaux.
Cette surveillance est généralement développée avec des financements et partenaires régionaux. 

Le fait qu’il n’existe pas de limites fixées pour les teneurs des composés non réglementés dans l’air ambiant est un handicap pour l’interprétation des données, qui s’effectue alors au regard de l’historique et de la bibliographie.
Aussi, ce travail de l’ANSES est très utile, puisqu’il va concourir à fixer des priorités de mesure pour la surveillance de l’air respiré par les normands, aider à la qualification de l’impact sanitaire des polluants mesurés et pourrait aboutir à réglementer de nouvelles espèces dans l’air.

• Communiqué de presse de la Fédération Atmo France 
• Communiqué de presse du Ministère de la Transition Ecologique et Solidaire
• Communiqué de presse de l'Anses  

Atmo Normandie recherche un(e) assistant(e) administrative pour un contrat CDI. Le poste, basé à Rouen.

Rattaché à la Responsable Administrative et Financière et en collaboration avec l’assistante et la comptable qui composent le service, vous aurez pour principales missions :

• Assistante « vie associative » (réunions et obligations statutaires et légales, liens avec les administrateurs, …)
• Assistante RH : dossiers individuels du personnel, administration du système de suivi des temps et congés, visites médicales, gestion de la formation
• Assistante service Qualité
• Secrétariat et assistance des différents services, accueil (mission partagée)

Voir la fiche de poste complète.

 Adresser votre candidature (lettre de motivation + CV + prétentions)  par mail à
contact@atmonormandie.fr

                                      
Il n’existe actuellement aucune réglementation sur les pesticides dans l’air contrairement aux teneurs scrupuleusement surveillées dans l’eau. Une vaste campagne de mesure nationale, financée par l’Anses démarre aujourd’hui pour une durée d’un an. Il s’agit d’évaluer l’exposition moyenne de la population aux pesticides et de définir à terme un dispositif de surveillance pérenne. 

 A l’échelle régionale, Atmo Normandie participe à ce projet et prévoit d’équiper 3 sites de mesures de typologie agricole distincte :

• en zone de maraichage dans le Cotentin
• en zone de grandes cultures dans le Pays de Bray
• en région caennaise. 

Les échantillonnages seront calés sur les différentes périodes de culture. Herbicides, fongicides, insecticides, biocides… sont ciblés dont certains sont connus du grand public car ont fait l’objet de débats médiatiques comme le lindane, le fipronil ou plus récemment le glyphosate. Mais au total, ce sont plus de  80 substances qui vont être recherchées : une campagne de mesures sans précédent.

Pour plus d’informations sur ce projet mené en partenariat entre l’ANSES, l’Ineris, le Ministère de la Transition Ecologique et Solidaire, les AASQA et leur Fédération ATMO France : 

Communiqué de presse national